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Les chroniques d'une blonde

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Les chroniques d'une blonde: 09.09

mardi 29 septembre 2009

Le jour où j'ai testé la mini jupe en cuir

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Ca n'aura pas traîné finalement, j'ai opté pour une mini jupe en skaï Pimkie. Bah oui je suis prudente, je n'allais quand même pas investir dans du vrai cuir souple en agneau plongé si les résultats de mon test grandeur nature s'avéraient peu concluants. 35 euros c'est donc bien suffisant pour un premier test et me faire un avis tranché.
Je choisi donc d'acoquiner un bustier que j'aime appeler "tous boobs dehors !" et une paire de sandales à talons à ma jupette en (faux) couèèèère, moi pas peur, moi aventurière.
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"Doudouuuuuuuuu tu m'aides à me faufiler dans ma mini steupléééééééé !" j'avais pas de chausse-pieds et j'avais mangé une tartiflette la veille, ceci expliquant cela je pense. Un fois sur le dos, le brave m'aide, il pousse, tire, s'essoufle, me propose de m'enduire de vaseline, je m'exécute et entre enfin dans la jupe. Inutile de faire de même avec mon bustier car je suis ainsi faite : en forme de poire voyez-vous - traduction : des fesses/pas de seins c'est bête mais c'est comme ça. J'ai bien tenté de faire le poirier pour rééquilibrer le tout mais rien à faire.
C'est bon je suis mini jupée mais je ne peux plus bouger et encore moins me baisser pour enfiler mes sandales. Je décide donc d'aller m'expliquer avec la vendeuse de chez Pimkie qui m'avait pourtant assuré que cette jupe en skaï ferait bien la blague. Je me fais tomber sur le lit, appelle Doudou à la rescousse. Il tire, pousse, s'essoufle, m'enduit les cuisses de vaseline (la vaseline s'étant déjà fait la malle, j'ai les cuisses rouges) et hop je suis libre. Ashley Olsen ne doit pas faire tout ça elle pour entrer dans sa jupette bordel ?!
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"Oukcékéléééé la vendeuse qui a voulu me faire croire que je serai aussi bien là-dedans que dans une Swildens ?!" que je m'égosille en entrant dans la boutique, le skaï à bout de bras.
Les pauvrettes m'expliquent alors gentiment que je devrais peut-être la choisir en 38 (bon ok, 36 c'était peut-être un poil juste, et après ? La faute à la tartiflette vous vous souvenez) et ne surtout pas l'assortir à un bustier et des talons vertigineux, on va croire un camion volé (mouais... ok).
Je repars donc avec ma jupe en (faux) couèèèèèèèèèèr sous le bras bien décidée à tenter l'expérience. J'ai pensé à planquer le sac plastique pour rentrer hein, j'suis pas folle !
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Doudou me voyant revenir avec ma nouvelle jupette m'explique qu'il a réfléchi à mon problème : je devrai sauter à pieds joints dans la mini. Bonne idée. Je monte sur le rebord de la baignoire, lui tenant la mini jupe béante au pied de la baignoire. Je me lance et hop le tour est joué ! Je suis dans la jupe. J'ajoute une marinière, des collants opaques et des boots cloutées et pars m'admirer devant le miroir. Wouaaaaaah canon ! Faudra que je pense à remercier la vendeuse de chez Pimkie. Oh ! Tiens, sympa cette fente sur le côté. Doudou me fait remarquer que les fils qui pendouillent sur une fente c'est pas vraiment bon signe : elle s'est craquée ! La faute à mon plongeon sans doute...
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Je vais offrir ma mini jupe à fente Pimkie à ma petite cousine et investir dans un modèle de meilleure qualité c'est décidé.
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NB : une histoire imaginaire se cache dans cet article, saurez-vous la retrouver ?
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Photo : chroniqueblonde
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dimanche 27 septembre 2009

Le cas de la mini jupe en cuir

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Après les cuissardes, les épaulettes et les mocassins c'est au tour de la mini jupe en cuir de me torturer : j'aime c'est certain mais comment la porter pour ne pas tomber dans un mauvais remake de Pretty Woman, la perruque et les bas en moins.
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C'est clair on oublie immédiatement certaines associations comme cuissardes/mini en cuir ou encore décolleté/mini en cuir. Tout le problème est là : comment avoir l'air cool en mini jupe en cuir sans être ni trop classe ni vulgaire. On va honteusement s'inspirer de nos starlettes :

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Du loose, des jeux de longueurs avec un blazer ou un gilet assez long, des boots plates ou à petits talons, des collants opaques, une blouse romantique, une marinière voire même une chemise bûcheron chacune de ces pièces apportant la touche cool qui manque, à priori, à lamini jupe en cuir qui peut, si on l'associe bien, devenir un basique de notre garde-robe. Mention spéciale à Ashley Olsen qui opte tantôt pour un tee loose, tantôt pour un long gilet maîtrisant ainsi le jeu des longueurs. Gwyneth Paltrow se la joue un poil plus classe avec son blazer aux manches reboulées, ses collants opaques et ses escarpins.
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S'offrir un tel vêtement peut s'avérer coûteux si on privilégie la qualité (cuir souple) mais après avoir fait un petit tour dans les rayons des grandes enseignes ou encore sur les boutiques en ligne je pense qu'on peut se faire plaisir avec des modèles qui font la blague le temps d'une saison, sans pour autant envisager d'hypothéquer son appart'.
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Mais alors comment porter la mini jupe en cuir ? Selon les moyens de chacune, la version chic et la version cheap.
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- Versions chic :

Mini jupe en cuir stretch Phi, blouse romantique Diane von Furstenberg, collants opaques, boots à clous Dorothy perkins
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Mini jupe pétales cuir Browns, marinière Maje, veste à épaulettes Balmain, sandales gladiator Jimmy Choo, sac 2.55 Chanel, headband Chanel
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- Versions cheap :

Jupe faux cuir Forever 21 (13 euros), T-shirt Grace Jones New Look (13 euros), gilet long gris Pimkie (20 euros), collants opaques Pimkie (5,95 euros), Repetto zippées.
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Mini jupe Pimkie (35 euros), marinière Cyrillus (28 euros), veste Pimkie (40 euros), sandales vendues sur heels.com (55 euros), sac Pimkie (23 euros)
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Où shopper sa future mini jupe en cuir, celle qui deviendra notre seconde peau ? Voici une petite sélection de modèles :

de gauche à droite : Sandro, Swildens (239 euros), La Redoute Créations (79,90 euros), Maje, Maje, American Retro (285 euros), Orlane Herbin pour La Redoute (309 euros), Only (29 euros)
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La mini en cuir osera, osera pas ?
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samedi 26 septembre 2009

Qui veut venir avec moi à Marseille ? - concours -

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J'ai déjà eu l'occasion de vous le dire sur mon blog : depuis quelques années en plus d'être une fan du beurre corporel et de l'exfoliant corporel noix de coco avec ses ingrédient issus du commerce équitable, je suis une inconditionnelle de l'eau de parfum White Musk de la marque The Body Shop, parfum qui rencontre un franc succès auprès des femmes depuis plus de 20 ans.
White Musk c'est :
notes de tête : lys, ylang-ylang, galbanum, basilic
coeur : jasmin, rose, pêche, iris
notes de fond : muscs blancs, vanille, ambre, mousse, notes boisées
un parfum envoûtant qui est un des parfums toujours présents dans ma salle de bains.

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Il y a quelques jours Buzzparadise m'a gentiment proposé d'aller à Marseille. Mais alors quel est le rapport entre mon futur week end à Marseille et The Body Shop me direz-vous ? Je vais monter à bord du train "I love The Body Shop" pour un week end placé sous le signe de l'amour, le voilà le rapport !
Je n'en sais pas plus voyez-vous : tout plein de surprises nous attendent, vous et moi, à Marseille si vous le souhaitez!
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CONCOURS
Alors si vous aimez The Body Shop et que ça vous tente de m'accompagner à Marseille j'ai une bonne nouvelle : 10 blogueuses peuvent se joindre au voyage !
Pour cela il suffit d'avoir un blog (quelquesoit le thème de votre blog), d'être disponible les 17 et 18 octobre et de publier un article sur ce que vous inspire le mot "LOVE" (love d'ordre général, pas forcément l'amour entre un homme et une femme) sur votre blog en précisant que je vous parraine puis de l'envoyer à Vicky Balnave (vbalnave@buzzparadise.com) avant le 1er octobre en précisant vos coordonnées postales et e-mail. Vicky choisira à l’aide d’un jury The Body Shop et BuzzParadise les 10 meilleures parrainées pouvant se joindre à nous lors de ce week-end dans la cité phocéenne.
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Alors vous venez avec moi à Marseille ?
LOVE !
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mercredi 23 septembre 2009

Ma mission beauté : être ambassadrice Nocibé

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C'est pompeux le titre d'ambassadrice je vous l'accorde ! Et pourtant, pour fêter ses 25 ans Nocibé a convié 25 blogueuses beauté dans un magnifique loft situé à Paris afin de filmer leurs gestes beauté devant une véritable équipe de tournage et avec l'aide de Geneviève l'experte beauté Nocibé qui intervenait également. Notre mission : être ambassadrice Nocibé.

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C'était donc l'occasion pour moi de livrer mes quelques petites astuces concernant l'application du mascara mais également de donner mon avis sur mon produit de beauté chouchou : la Terracotta de Guerlain. Chaque jour depuis une semaine vous pouvez retrouver un geste beauté et un mot d'amour différents (et donc une blogueuse différente) sur le site dédié : http://www.25ansdebeaute.fr/nocibe.
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Entre stress, rires, potinages, papotages, et séances photos entre copines (Elodie, Camille et Marie-Laure ont tourné leur vidéo en même temps que moi) on peut s'accorder à dire qu'on a passé un moment merveilleux et inoubliable.
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Comme vous êtes toujours bien sages voici ma vidéo (on ne se moque pas les filles !) :
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Une petite explication s'impose, habituellement j'ai une manie dont je n'arrive pas à me débarrasser : j'ouvre la bouche lorsque je me maquille les yeux (oh ça va hein, je suis certaine que je ne suis pas la seule !), je m'étais donc préparée mentalement à ne pas le faire devant la caméra mais je me rends compte que j'ai fait quelque chose de tout aussi moche : je pince la bouche !
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Ma vidéo et mon mot d'amour sont visibles à partir d'aujourd'hui sur http://www.25ansdebeaute.fr/nocibe. N'hésitez pas à découvrir au jour le jour les différents gestes de beauté des blogueuses.
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Merci à Brice et à Nocibé pour cette merveilleuse expérience.
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lundi 21 septembre 2009

Comment bien prendre soin de ses pieds

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On vient de rentrer de vacances, nos pieds ont eu la liberté de fouler le sable et de profiter de chaussures ouvertes et une fois rentrées, on les enferme et/ou on les perche sur des hauts talons le meilleur moyen pour les agresser.
Par mail et commentaire on m'a demandé comment prendre soin de ses pieds. Je ne vous parlerai pas là de la coupe des ongles ou de l'application du vernis qui font pleinement partie d'une beauté des pieds traditionnelle, je suis certaine que vous n'avez pas besoin de conseils, je me contenterai de la partie "soin".
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Je prends grand soin de mes pieds, ceux-ci étant assez capricieux : très secs et me faisant parfois souffrir, ils sont très sollicités car je fais beaucoup de danse et suis chaque jour juchée sur mes talons.
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Lorsque j'ai le temps je me prépare un bon bain de pieds : du gros sel dans une bassine ou des pastilles effervescentes vendues dans le commerce et hop le tour est joué. Je barbote ainsi pendant une bonne dizaine de minutes. Pour ma part, je préfère une eau tiède relaxante mais n'hésitez pas à favoriser l'eau froide si vous rencontrez des problèmes de circulation.
Une fois les pieds bien secs on pense à repousser et à couper les cuticules ramollies par l'effet du bain de pieds (c'est valable après la douche ou le bain classique), de la même manière on ponce ses talons dont les callosités sont elles aussi ramollies. Je préfère utiliser une pierre ponce, tous les jours après la douche, la pierre ponce étant moins agressive que la rape qu'il m'arrive pourtant d'utiliser parfois. De temps en temps on peut faire plaisir à nos petons et utiliser une crème gommante ou exfoliante spécialement conçue pour éliminer les cellules mortes. La peau est alors prête à recevoir la crème hydratante pour finaliser notre soin. L'hiver je profite du froid pour couvrir généreusement mes pieds de crème nutritive et masser avant de les enfermer dans une paire de chaussettes en coton que je garde toute la nuit, quel plaisir de se réveiller avec des pieds tout doux prêts à affronter une nouvelle journée.
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Prendre soin de ses pieds c'est facile et pas si long que ça mais surtout possible avec des produits accessibles à toutes (j'achète les miens essentiellement en grande surface), le résultat étant si satisfaisant !
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Sur la première photo, vous pouvez voir quelques-uns de mes produits chouchous, ceux que j'utilise depuis de nombreuses années (et croyez-moi j'en ai essayé des crèmes pour les pieds !) :
- la crème gommante pour pieds secs et à l'huile de noyaux de pêche de Scholl (achetée en grande surface)
- la crème hydra-exfoliante pour pieds secs et à l'huile de noyaux d'abricot d'Efidium Pied (achetée par mon chéri en parapharmacie)
- la crème réparatrice pieds très secs de Scholl (achetée en grande surface)
- le soin pieds anti-crevasse réparation intense de Neutrogena (achetée en grande surface)
- la crème soulageante pour pieds fatigués au menthol de Scholl (achetée en grande surface) que j'utilise lorsque j'ai les pieds échauffés ou douloureux, les talons hauts perchés et/ou la danse en étant responsables
-le repousse et coupe cuticules (acheté chez Sephora) dont je ne peux plus me passer
- la rape Scholl (achetée en grande surface)
- la pierre ponce et le bloc polissoir offerts par l'institut de beauté Prestige Nails (mais habituellement j'achète en grande surface une pierre ponce Scholl)
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A votre tour de prendre votre pied les filles !
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Photos : chroniqueblonde
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vendredi 18 septembre 2009

Style icon, Albert Delegue

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Tous ces décès successifs de people ayant connu la gloire alors que je n'étais qu'une adolescente ont bizarrement ramené mes souvenirs à ce mannequin que j'appréciais tant mais qui lui aussi est mort trop tôt (en 1995) : Albert Delègue.
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Ca vous dit quelque chose ? Je crois que seules les filles de ma génération comprendront ma nostalgie.
De Valentino à Versace, en passant par Kenzo ou Sonia Rykiel, mes années collège n'étaient que compilation de publicités du mannequin dans mon classeur, ce genre de classeur ou cahier que l'on tient à cet âge-là et dans lequel on colle les photos des tops ou les publicités pour les parfums ou encore lorsqu'on tapissait les murs de la chambre avec les photos de nos idoles.
Albert Delègue, dans la même veine que Werner Schreyer ou encore Marcus Schenkenberg, ces tops qui étaient à l'apogée de leur carrière lorsque j'avais 13 ans.
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Souvenirs...
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Heureusement que TF1 va reprogrammer "Tournez Manège" hein (joke inside) ! Nostalgie des 90's quand tu nous tiens...
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mercredi 16 septembre 2009

SMS

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De : chroniqueblonde
A : midinettes du monde entier
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"me rest pu ka regarD Dirty Dancing en DVD
et écouT "Partir un jour" en boucl.
jmen remetrè jamè...
c lécatomb dan le show biz !"
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mardi 15 septembre 2009

Chinese beauty : le T'ai Chi masques Herborist

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J’ai découvert Herborist au détour d’un rayon Sephora alors que j’étais à la recherche d’une crème préventive anti-rides, le message «il faut commencer l’anti-rides à 25 ans» étant le genre de message qui résonne bien en moi, comme si réellement, à partir de 25 ans, l’attaque de ces sillons disgrâcieux était inévitable. Une vendeuse me voyant perdue au milieu de ce monde merveilleux des crèmes anti-âge à l’époque totalement inconnu pour moi est venue à ma rescousse et m’a alors parlé de cette marque fondée à Shangaï il y a plus de 100 ans et m’en a vanté les mérites.

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A cette époque je ne craque pas immédiatement mais me rue sur le site de Sephora sitôt rentrée chez moi pour lire l’histoire de la marque, la vendeuse ayant quand même réussi à attiser ma curiosité (en même temps en matière de produits de beauté ce n’est pas bien compliqué de me prendre dans ses filets) : «Herborist ou les secrets de beauté chinois. La Chine détient une tradition botanique parmi les plus anciennes du monde. Dès la plus haute antiquité, l'Empereur mythique Shen Nong observa 365 plantes médicinales aux pouvoirs mystérieux et leurs énergies particulières. Le traité qu'il écrivit, le Ben Cao Jing, recopié et transmis par ses disciples, fait encore autorité, les plantes y sont répertoriées selon les mouvements énergétiques qu'elles introduisent dans le corps. Fidèle aux prescriptions anciennes, Herborist allie les pouvoirs de ces plantes à des formules innovantes de la recherche moderne. Les femmes chinoises ont plébiscité ces produits qui reprenaient les recettes ancestrales à base de plantes et les alliaient aux découvertes les plus récentes de la technologie biologique. Aujourd'hui, c'est beaucoup plus qu'une nouvelle marque de beauté qui arrive en France. C'est une part de la culture chinoise».
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Et depuis que je connais Herborist je ne rêve que d’une chose : voir l’incontournable T'ai Chi Masques trôner fièrement dans ma salle de bains (rien à voir avec l’anti-rides que je cherchais donc à l’époque, on est d’accords) !

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Ce soin est ingénieux car il regroupe en réalité deux produits : un masque noir qui purifie et un masque blanc qui révèle l'éclat de la peau. Le masque noir est composé principalement de Pivoine Rouge (plante reconnue dans la tradition chinoise pour ses vertus purifiantes) tandis que le masque blanc est principalement composé de Pivoine Blanche qui nourrit l'éclat du teint.
Le T'ai Chi Masques est une réelle invitation au voyage, destination Shanghaï !
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Herborist dont je n'ai donc pas eu le bonheur de tester les soins propose une gamme de produits tous plus tentant les uns que les autres comme le "bains pour les pieds" ou encore la "mousse crépitante après-soleil", des noms chantant qu'on imagine volontiers dans sa salle de bains.
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dimanche 13 septembre 2009

The September Issue, Anna Wintour sans faux-semblants

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J'ai eu la chance de voir en avant-première The September Issue, mon avis.
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Synopsis :
Célébrissime rédactrice en chef de l'édition américaine du magazine Vogue, Anna Wintour est l'une des icônes les plus puissantes et les plus fascinantes du monde de la mode. Jusqu'à présent, elle n'avait jamais autorisé quiconque à s'immiscer dans les arcanes de la création de son magazine. Elle a fait une exception pour R.J. Cutler qui a suivi la fabrication du numéro de septembre de Vogue...

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J'ai beaucoup apprécié ce documentaire car on y découvre une Anna Wintour sous deux aspects : une Anna Wintour telle qu'on veut bien l'imaginer (imbuvable entre autre) et une Anna Wintour qui a de l'humour (ses réponses faites aux journalistes sont vraiment marrantes "Il y a toujours moyen de porter de la fourrure. Moi, je me la mets sur le dos") et du coeur (les mots qu'elle a, à la fin, pour Grace Coddington son bras droit ou encore lorsqu'elle parle de son père), aspect de sa personnalité que je ne soupçonnais pas. Malgré son air dur, glacial et antipathique j'aime le caractère de cette femme de fer qu'est Anna Wintour, une femme qui prend des décisions sans ciller.
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R.J. Cutler le réalisateur a suivi la célèbre rédactrice en chef pendant 9 mois, on pénètre ainsi dans les coulisses de la rédaction du plus grand magazine de mode au monde à l'occasion de la sortie du numéro de septembre 2007, le plus gros numéro de l'année : réunions, choix des photos, choix des vêtements, découverte des collections des plus grands couturiers, comme si on avait l'oeil collé au trou de la serrure.
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Toutefois, ce qui m'a gêné c'est qu'on sent Grace Coddington comme frustrée, beaucoup de ses magnifiques photos se voient refusées une par une par Anna Wintour qui admet tout de même que "personne mieux qu'elle ne peut visualiser une image, comprendre vers où va la mode" et admet que "Grace est un génie".
Pour finir je me demande toujours qu'elle est la véritable fonction de André Leon Talley. Lorsqu'une journaliste le lui demande il répond qu'il aide Anna à faire des choix, ce que je n'ai pas du tout ressenti dans le documentaire, la rédactrice en chef prenant toutes ses décisions seules et sur-le-champs.
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BON PLAN :
Le film sort mercredi prochain, le 16 donc, et à partir d'aujourd'hui et jusqu'à mercredi inclus c'est "la rentrée du cinéma" à 4 euros la séance dans toute la France c'est donc le moment de courir au ciné et voir le documentaire "The September Issue".
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mercredi 9 septembre 2009

La très épineuse question mode du retour des mocassins

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Autant pour les cuissardes mon avis est partagé (j'aime beaucoup, je trouve que c'est sexy, classe aussi mais je ne me sens pas d'assumer les regards qui se poseraient sur moi) autant pour les mocassins mon avis est tranché : les mocassins ne passeront pas par moi.


photo n°1 : loobook
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Ma fashion dignity atteint là ses limites. Les Ugg j'ai dit oui, les bottes à franges aussi mais les mocassins mes amies, les mocassins ! Tendance preppy ou pas, ce sera sans moi. Inévitablement, une association d'idées s'opère dans ma tête quand on parle de mocassins, ça fait vieillot, c'est la rentrée on est en 6éme, notre Tann's sur le dos et les dernières recommandations de môman qui nous regarde de loin résonnent encore.
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Minnetonka arrive à peu près à trouver grâce à mes yeux grâce aux franges et à cet esprit "Pocahontas" qui s'en dégage mais pas au point de m'emballer et de me ruer pour trouver le Graal.
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Porter des mocassins s'avère être quasi mission impossible. Même si on apprécie son côté chic casual il n'est pas simple de les marier aux pièces de sa garde-robe.
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Je n'en ai pas encore vu aux pieds des Parisiennes peut-être est-ce pour cela que je ne suis pas tentée (je craque plus facilement pour une tendance quand je la vois portée dans la rue). Les quelques modèles que j'ai trouvé sur le net n'aident pas :
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Pas terrible hein...
De gauche à droite : Collections actuelles La Redoute (69,90 euros), Esprit (59,95 euros), Sebago (92 euros)
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lundi 7 septembre 2009

Interview de Fred Farrugia à l'occasion de la sortie de sa gamme de makeup "nomade"

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La semaine dernière la grande chanceuse que je suis a rencontré Fred Farrugia un des plus grands makeup artist venu nous présenter sa collection éponyme de makeup.
Au départ intimidée, Fred Farrugia a ce don pour nous mettre à l'aise, grand bavard qu'il est. On a donc touché, comparé, testé en tout liberté les multitudes de textures, de couleurs, de matières qui composent sa gamme.

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Depuis que j'ai ma palette - dont Fred Farrugia himself a choisi les couleurs qui m'iraient le mieux - je n'utilise qu'elle chaque matin en faisant varier les couleurs et la façon de les appliquer. Le maquillage tient vraiment bien. Avant de vous donner mon avis je tenais à le tester dans différentes situation, le résultat est sans appel : sans base préalablement posée sur ma paupière mon fard tient toute la journée et reste en place même après mes heures de danse intensive (testé toute la semaine dernière promis) et je n'ai pas eu besoin de remettre de rouge à lèvres dans la journée, juste une touche de gloss, tellement la tenue est bonne. Que de points positifs pour cette ligne de maquillage haut de gamme.
Quel plaisir de découvrir une collection de makeup intelligent : le maquillage nomade constitué de modules qui se clipsent et se déclipsent à l'infini, merveilleuse façon de composer soit-même sa palette de makeup au gré de ses envies et de le transporter dans son sac pour une utilisation simple et rapide possible au doigt. Maquillage au doigt résonne alors comme maquillage simple : plus besoin d'être une experte és pinceaux d'application pour réussir son makeup. Enfin du maquillage malin accessible à toute. Une sorte de couteau suisse de la beauté en somme. Ca c'est magique !
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Qui de mieux que Fred Farrugia pour en parler ! J'ai eu l'immense plaisir de reccueillir ses réponses à mon interview. Vous verrez qu'il s'exprime également au sujet du plagiat dont on l'accuse ici et là sur la toile.
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"Qu'est-qui vous a amené au métier de makeup artist ?
Ce qui m'a amené au maquillage est sans aucun doute «la scène» en tant qu'artiste de cabaret il me fallait créer des «personnages» et me transformer à la vue du public en quelques secondes. C'est alors que j’ai découvert le pouvoir du maquillage et ma fascination pour la transformation, à tel point que j’ai quitté la «scène» pour le maquillage.
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Quelles sont vos sources d'inspiration ?
Mon inspiration principale est la femme en général. Les femmes qui aiment le maquillage et surtout celles qui ne l'aiment pas.
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Le design étant totalement inédit, pouvez-vous nous expliquer le concept des modules clipsables et déclipsables à l'infini ?
Je voulais un maquillage «nomade» aussi bien dans les textures que dans le packaging. Un pack qui permette d'avoir sous la main tout ce dont on a besoin et de pouvoir choisir, stocker, déstocker à l’infini tout son maquillage le tout dans une palette personnalisable et customisable à volonté. Il aura fallu très peu de temps à Ora Ito pour imaginer cette palette aux modules clipsables et déclipsables à l'infini au design épuré et intemporel. Depuis sa création jusqu'à aujourd'hui la palette n'a subie aucune modification. J'ai tout de suite su en la voyant que mon rêve allait devenir réalité.
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Depuis combien de temps travaillez-vous sur cette ligne de makeup ?
Un peu plus de 5 ans.
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Chose tout à fait inhabituelle et déroutante vous recommandez une application du makeup au doigt, comment expliquez-vous que cela soit si simple et le résultat si naturel ?
Cette technique ne devient possible que si les textures permettent ce genre d'application. Pour moi les doigts sont les meilleurs applicateurs. On étale, on estompe pour obtenir le résultat souhaité.
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Alors qu'on sait que le fard à paupières par exemple est très coûteux et que les prix traditionnellement pratiqués sont élevés, pourquoi avoir choisi cet ordre de prix (20 euros par modules seulement) ?
En créant cette marque j'ai toujours rêvé qu’elle soit accessible, qu’elle puisse apporter des produits "top qualité" à un prix raisonnable et aujourd'hui c'est devenu possible grâce à mon distributeur Séphora qui avait aussi cette volonté.
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J'ai pu lire qu'on vous accusait de vous être "très largement inspiré" du "Glam Suisse" proposé en 2007 par une adolescente lors de l'émission du concours "L'inventeur de l'année", que voulez-vous répondre à cela ?
Je voudrais simplement rappeler brièvement quelques dates. Le concept de produits «nomades» était déjà au cœur de ma réflexion pendant mes huit années passées chez Lancôme. Le concept de cette palette à été déposé à l'INPI en 2003 et en janvier 2005 le premier prototype de la palette voyait le jour. L’émission à laquelle vous faîtes référence a eu lieu en 2007 soit 2 ans après la création du premier prototype.
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Quels sont vos projets à venir ?
C'est un peu trop tôt pour en parler, mais ils seront excitants..."
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Merci à Fred Farrugia d'avoir pris le temps de répondre à mes questions. Pour en savoir plus rendez-vous sur son site officiel http://www.fredfarrugia.com/.
Le maquillage nomade de Fred Farrugia est en vente en exclusivité dans les magasins Sephora à partir d'aujourd'hui.
Chaque module coûte 20 euros, le First Kit (fond miroir + pochette de rangement + top) 15 euros et le Full Set (First Kit + tous les pinceaux lèvres, fards, estompe, cils et une finger sponge) 40 euros.
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Photos : chroniqueblonde + les 2 dernières ont été prises par le photographe de la soirée
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vendredi 4 septembre 2009

Style icon, Erin Wasson

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